jeudi 6 octobre 2011

Istanbul

Je pars, toujours, tout l'temps, loin ou juste à côté, mais je pars, toujours, tout l'temps.
Dans ma valise éculée, des regards lointains, des visages inconnus, des histoires jamais racontées, qui au fil du temps me deviennent familiers, car je ne les ai jamais oubliés.
"Et les yeux grands ouvert, le cœur de larmes émus, je leurs ai demandé, de voir encore des dizaines de fois, cette image, ce rêve, cet Istanbul, le muezzin, le balcon, et moi, une salade de vie et compagnie"




11 commentaires:

  1. Nice photos, I love your blog,
    bises
    Maria

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  2. Muy buenos retratos Maia, algunos tienen la marca del tiempo y el sufrimiento en sus rostros. Me agrada mucho estas tomas porque están muy bien logradas... va un cordial saludo en la distancia, Rodisi

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  3. c'est un peu troublant ton texte...
    je pourrais presque le reprendre à mon compte !
    Merci maia / Bises

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  4. Marie-Pierre, vedo che viaggi molto. Dal Vietnam alla Turchia. Molto interessanti le foto delle persone in entrambi i post. Un cordialissimo saluto.

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  5. Peu doué pour les départs, je me contente de lever les yeux et de fixer le bleu du ciel, ou parfois de les baisser sur quelques livres rougeoyants.

    D'ici une pensée.

    Philippe Chauché

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  6. Great set of portraits of Turkish people!

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  7. de jolis portraits pour ne pas oublier les visages et les yeux des inconnus avec l'espoir de les revoir un jour... peut-être !
    bisous Maïa
    joli dimanche à toi

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  8. J'aime le tranchant de vos mots et la chaleur de votre regard, billet où l'émotion est à ras bord.
    Très belle journée.

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  9. El toque humano de Istambul, ese conglomerado de razas y culturas que confluyen en ese lugar y de los que nos muestras con maestría, un pequeños ejemplo.
    Saludos

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