Le déballage va de malle en pis.
Les histoires dont on a tourné depuis longtemps la page, ont rendu l'âme à même le trottoir.
L'enfance se désagrège.
On se promène dans le marché des amours mortes, et l'on finit par acheter deux sous d'oubli.
" ... Un peigne, en forme de tuile romaine, évoquant, sans pouvoir la cacher, la grâce chevelue d'une mantille ornée de glands... Des peignes par eux-mêmes fiers et enjôleurs, telles de petites virgules de chair juvénile, tombées, dans un instant d'inattention, d'une belle aux seins vifs et généreux, qui passait par là... " Le Rastro - Ramon Gomez de la Serna - traduc. Roger Lewinter et Monique Tornay - Editions Gérard Lébovici - 1988
Lisant vos mots et regardants vos photos, l'ami Ramon s'est invité, il convenait d'en partager les phrases.
avec trois fois rien on peut peut-être s'offrir un amour tout neuf, écrire de nouvelles pages, refaire le monde et la malle ! redonner le sourire à Humphrey, aux poupées Barbie et au fire chief... faut pas se tromper de marché !!! bisous et bon après midi de dimanche
Très joliment dit et des photos sublimes. Comme dans Viento, j'aime ce jeu avec les mots, parfois tristes, parfois très joyeux ! Le clic en plus sur Memories, j'adore ! Merci Maia, bon dimanche à vous. Je vous embrasse Danielle
Philippe: vous éclairez toujours ce blog de la délicatesse modeste de votre savoir. Je ne m'en prive pas. Revenez vite.
Ignacio : Gracias, tu entusiasmo me da animo. Gracias de corazon
Patrick : Le zest de réalisme qui vient toujours relever le cocktail de mes photos. C'est bon de te lire souvent.
Marty : Tu sais, tu te régalerais au Rastro, c'est une ville dans la ville et en plus les tapas sont délicieuses! Je t'embrasse
Danielle : Les jeux des mots, l’étymologie, les lapsus, les langues qui fourchent me fascinent, et si j'ai pu vous faire sourire parfois, j'en suis vraiment très heureuse. Je vous embrasse chère Danielle, à vite à Venise.
Veronica : Vous, je ne vous lâche plus! Désolée vous avez semé de bien belles carabistouilles avec les mots sur votre blog, et vous avez récolter une fan à tiques!
Elio : E 'una meraviglia di Madrid : Il Rastro. Possiamo dire che questo mercato esiste (non nella sua forma attuale) del XV secolo! Questo è da vedere: http://www.elrastro.org Buonanotte Elio e grazie per la vostra visita
Una visión sorprendente la tuya, como te detienes en fragmentos que pueden pasar inadvertidos y como consigues con el conjunto hace aflorar unos recuerdos y sensaciones que parecían olvidados. Un abrazo.
Damaso : No se como me han "fabricado" mis padres, pero desde pequeña siempre me han encatodo los detalles. Gracias por tu mensaje, me encanta tambien pasearme por tu blog. Un abrazo
Hello my friend Maia! I have been visiting your blog. Very understandable , simple and elegant. Thanks for sharing! Visit me too. I wish a excellent new week for you, with very smiles and peace!
Ils vont et viennent à n’en finir. Le revoilà le défilé de souvenirs, bons et mauvais, ou mornes ou tristes, ou qui font rire. On est seul avec son passé.
Tous ces souvenirs sont en fête. Ils tiennent le haut du pavé. Et toujours prêts à grimacer, ils font de vous ce que vous êtes. On est seul avec son passé.
Il en est qu’on enfouirait dans la pénombre des années. Il en est qu’on ne sortirait que pour leur faire un pied de nez. On est seul avec son passé.
Il en est qui se chanteraient. Ils sont écrins pleins de lumière. Ils sont bouées, ils sont repères. Qu’il est doux de s’y accrocher ! On est seul avec son passé.
Mon autre bonheur à moi sera de redécouvrir l'espagnol avec vous, en vous lisant, si longtemps délaissé, de grosses lacunes à rattraper ... Un juego de palabras ...
Nelson : Gracias y bienvenido, me fue a dar un paseo por tu blog. Me gustaria tambien hablar portugues.Bueno creo que fotografia y poesia son universales Saludos
Françoise: Merci pour cette petite perle. J'avoue ne pas connaître l'oeuvre de cet auteur et je me suis empressée de partir à sa rencontre. Merci Françoise, pour aiguiser ma curiosité et me permettre toujours d'apprendre. Je vous souhaite une savoureuse journée! (au cas où un mille feuilles vous attendrait...).
Veronica : L'appât et là et le gars pas chaud. En attendant les choux rosses, je vous invite à un café olé! Quelques lignes culinaires ibériques pour vous raviver la flamme and co.
Carlos : Gracias por tu amable mensaje.Invito mis visitantes a pasar por tu blog para descubrir el reportage que has hecho sobre una concentración de motos. Siempre seras bienvenido Un abrazo
" ... Un peigne, en forme de tuile romaine, évoquant, sans pouvoir la cacher, la grâce chevelue d'une mantille ornée de glands... Des peignes par eux-mêmes fiers et enjôleurs, telles de petites virgules de chair juvénile, tombées, dans un instant d'inattention, d'une belle aux seins vifs et généreux, qui passait par là... "
RépondreSupprimerLe Rastro - Ramon Gomez de la Serna - traduc. Roger Lewinter et Monique Tornay - Editions Gérard Lébovici - 1988
Lisant vos mots et regardants vos photos, l'ami Ramon s'est invité, il convenait d'en partager les phrases.
Belle journée
Philippe Chauché
Muy buen post, Maia!!!...me ha encantado...enhorabuena!!!
RépondreSupprimerUn abrazo!!! ;)
ça sert à quoi
RépondreSupprimer2 balles pour un flash back
c'est devant que ça se passe
et encore j'ai tout faux
c'est maintenant...
Beau dimanche / Bises
avec trois fois rien on peut peut-être s'offrir un amour tout neuf, écrire de nouvelles pages, refaire le monde et la malle !
RépondreSupprimerredonner le sourire à Humphrey, aux poupées Barbie et au fire chief...
faut pas se tromper de marché !!!
bisous et bon après midi de dimanche
Très joliment dit et des photos sublimes. Comme dans Viento, j'aime ce jeu avec les mots, parfois tristes, parfois très joyeux ! Le clic en plus sur Memories, j'adore !
RépondreSupprimerMerci Maia, bon dimanche à vous.
Je vous embrasse
Danielle
Je me promène avec vous à l'or deux sous venir ... quêtant, sur mon chemin, l'âme des objets passés ... et Barbie qui sourit toujours !
RépondreSupprimer:)
Ma eri a un vide-grainier per poter fare delle foto così differenti? In ogni caso sono superbe. Buonanotte.
RépondreSupprimerPhilippe: vous éclairez toujours ce blog de la délicatesse modeste de votre savoir. Je ne m'en prive pas. Revenez vite.
RépondreSupprimerIgnacio : Gracias, tu entusiasmo me da animo. Gracias de corazon
Patrick : Le zest de réalisme qui vient toujours relever le cocktail de mes photos. C'est bon de te lire souvent.
Marty : Tu sais, tu te régalerais au Rastro, c'est une ville dans la ville et en plus les tapas sont délicieuses! Je t'embrasse
Danielle : Les jeux des mots, l’étymologie, les lapsus, les langues qui fourchent me fascinent, et si j'ai pu vous faire sourire parfois, j'en suis vraiment très heureuse. Je vous embrasse chère Danielle, à vite à Venise.
Veronica : Vous, je ne vous lâche plus! Désolée vous avez semé de bien belles carabistouilles avec les mots sur votre blog, et vous avez récolter une fan à tiques!
Elio : E 'una meraviglia di Madrid : Il Rastro. Possiamo dire che questo mercato esiste (non nella sua forma attuale) del XV secolo!
Questo è da vedere: http://www.elrastro.org
Buonanotte Elio e grazie per la vostra visita
gracias maia por tu visita a foto grata; curiosas fotos en el tuyo, lo visitare mas veces y con mas tiempo. saludos
RépondreSupprimerOteador : Gracias por tu visita y tu mensaje, seras siempre bienvenido.
RépondreSupprimerQue tengas una buena noche.
Saludos
Una visión sorprendente la tuya, como te detienes en fragmentos que pueden pasar inadvertidos y como consigues con el conjunto hace aflorar unos recuerdos y sensaciones que parecían olvidados.
RépondreSupprimerUn abrazo.
Damaso : No se como me han "fabricado" mis padres, pero desde pequeña siempre me han encatodo los detalles. Gracias por tu mensaje, me encanta tambien pasearme por tu blog.
RépondreSupprimerUn abrazo
Hello my friend Maia! I have been visiting your blog. Very understandable , simple and elegant. Thanks for sharing! Visit me too. I wish a excellent new week for you, with very smiles and peace!
RépondreSupprimerLe défilé
RépondreSupprimerIls vont et viennent à n’en finir.
Le revoilà le défilé
de souvenirs, bons et mauvais,
ou mornes ou tristes, ou qui font rire.
On est seul avec son passé.
Tous ces souvenirs sont en fête.
Ils tiennent le haut du pavé.
Et toujours prêts à grimacer,
ils font de vous ce que vous êtes.
On est seul avec son passé.
Il en est qu’on enfouirait
dans la pénombre des années.
Il en est qu’on ne sortirait
que pour leur faire un pied de nez.
On est seul avec son passé.
Il en est qui se chanteraient.
Ils sont écrins pleins de lumière.
Ils sont bouées, ils sont repères.
Qu’il est doux de s’y accrocher !
On est seul avec son passé.
Esther Granek
Je vous embrasse
Mon autre bonheur à moi sera de redécouvrir l'espagnol avec vous, en vous lisant, si longtemps délaissé, de grosses lacunes à rattraper ...
RépondreSupprimerUn juego de palabras ...
Un abrazo.
Detallista en blanco y negro.
RépondreSupprimerFelicidades
Un abrazo
Nelson : Gracias y bienvenido, me fue a dar un paseo por tu blog. Me gustaria tambien hablar portugues.Bueno creo que fotografia y poesia son universales
RépondreSupprimerSaludos
Françoise: Merci pour cette petite perle. J'avoue ne pas connaître l'oeuvre de cet auteur et je me suis empressée de partir à sa rencontre. Merci Françoise, pour aiguiser ma curiosité et me permettre toujours d'apprendre.
Je vous souhaite une savoureuse journée! (au cas où un mille feuilles vous attendrait...).
Veronica : L'appât et là et le gars pas chaud. En attendant les choux rosses, je vous invite à un café olé! Quelques lignes culinaires ibériques pour vous raviver la flamme and co.
Carlos : Gracias por tu amable mensaje.Invito mis visitantes a pasar por tu blog para descubrir el reportage que has hecho sobre una concentración de motos.
Siempre seras bienvenido
Un abrazo