Je pars, toujours, tout l'temps, loin ou juste à côté, mais je pars, toujours, tout l'temps.
Dans ma valise éculée, des regards lointains, des visages inconnus, des histoires jamais racontées, qui au fil du temps me deviennent familiers, car je ne les ai jamais oubliés.
"Et les yeux grands ouvert, le cœur de larmes émus, je leurs ai
demandé, de voir encore des dizaines de fois, cette image, ce rêve, cet
Istanbul, le muezzin, le balcon, et moi, une salade de vie et
compagnie"
Nice photos, I love your blog,
RépondreSupprimerbises
Maria
Those faces ... lots of stories !
RépondreSupprimerMuy buenos retratos Maia, algunos tienen la marca del tiempo y el sufrimiento en sus rostros. Me agrada mucho estas tomas porque están muy bien logradas... va un cordial saludo en la distancia, Rodisi
RépondreSupprimerc'est un peu troublant ton texte...
RépondreSupprimerje pourrais presque le reprendre à mon compte !
Merci maia / Bises
Marie-Pierre, vedo che viaggi molto. Dal Vietnam alla Turchia. Molto interessanti le foto delle persone in entrambi i post. Un cordialissimo saluto.
RépondreSupprimerPeu doué pour les départs, je me contente de lever les yeux et de fixer le bleu du ciel, ou parfois de les baisser sur quelques livres rougeoyants.
RépondreSupprimerD'ici une pensée.
Philippe Chauché
Great set of portraits of Turkish people!
RépondreSupprimerde jolis portraits pour ne pas oublier les visages et les yeux des inconnus avec l'espoir de les revoir un jour... peut-être !
RépondreSupprimerbisous Maïa
joli dimanche à toi
J'aime le tranchant de vos mots et la chaleur de votre regard, billet où l'émotion est à ras bord.
RépondreSupprimerTrès belle journée.
El toque humano de Istambul, ese conglomerado de razas y culturas que confluyen en ese lugar y de los que nos muestras con maestría, un pequeños ejemplo.
RépondreSupprimerSaludos
Some fine work :)
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