L'histoire se passe dans une ville pleine de bruits et de mouvements incessants. Une ruche bruyante et animée où chacun va, vient, se retourne, s'élance ou revient sur ses pas. Une ville comme mille autres et pourtant nulle autre pareille.
L'histoire se passe dans une ville qui se passe de lui et de tout commentaire...
si on pouvait lire dans le coeur des gens, combien de solitudes, combien d'errances, combien de silences !
RépondreSupprimeraprès le froid et le noir inacceptables, la lumière revient
peu à peu ! la saisir et la faire sienne ! la route est longue, ne pas s'égarer et prendre les mains qui se tendent et les sourires, tous les sourires ! et l'histoire se passe sans en perdre une miette!
l'oubli n'existe pas !
je t'embrasse Maïa, je pense à toi !
Flagrantes muito interessantes
RépondreSupprimerMilton
Marty : Tes visites quotidiennes me font tellement plaisir! Il suffit d'être un peu un guetteur et tu captes parfois jusqu'à l'invisible.
RépondreSupprimerJe t'embrasse
Maia
Milton : Gracias por tu visita.
Muito obrigado
Maia
ah la ville ne se passe de personne maïa !
RépondreSupprimercomme l'océan ne se passe de ses gouttes d'eau !
celui qui est passé reste dans les mémoires...
et la ville porte en elle au fond de ses entrailles une histoire qui en fait sa richesse...
du brouhaha surgissent des sourires de éclats de voix
des regards pénétrants ou lointain
... comme un souffle
... comme caresse connue ..!
douce nuit !
You have a good eye - we all need to stop and rest!
RépondreSupprimerMon commentaire a du se perdre dans la toile....?
RépondreSupprimerJe crois que je te disast que dans les villes rien ne se perd ... les murs ont une mémoire ..!
Bises
Helen : Thank you
RépondreSupprimerThis encourages me to continue.
friendly
Maia
Patrick
J'ai parfois des problèmes avec le blog. Ton commentaire m'a donné à réfléchir... j'ai bien envie de faire quelques séries sur ces traces justement. Merci et bises
Lovely and interesting moments.
RépondreSupprimerGreetings
Nous habitons nos solitudes de mots et de couleurs que nous offrons aux belles passantes comme un bouquet de jasmin devant la Maestranza un dimanche de la résurection.
RépondreSupprimerBien à vous.
Philippe Chauché
Tes photos nous parlent, Maïa
RépondreSupprimerBon week-end
Alba
Photohunter : thank you for your message.
RépondreSupprimerFriendly
Philippe : Alors, de l'hôtel à l'autel, commence, en traversant la foule, la plus grande des solitudes...
Alba : et vos mots adoucissent mes silences.
Merci
Great moments, very nice b/w pictures!
RépondreSupprimerLörincz Csaba : You are always welcome to my blog, thank you for the message
RépondreSupprimerMaia