Reste ce qui parait impossible... Dépasser l'infranchissable, oser! Sur le trottoir d'en face, au nez et à la barbe du hasard, la gifle claque, et l'on tend l'autre joue sans hésiter. Mouvoir une main invisible, presque déjà oubliée et inonder pourtant la rue d'une vague de noires pointées. Le cri d'un oiseau aux ailes repliés lance au ciel son envie de voler. Des cordes pour se pendre...ailleurs!
"C’est une lune blessée qui est tombée sur la ville"... Federico Garcia Llorca
et rien ne déchire tant la vie
RépondreSupprimerque la force
l'envie
et l'énergie d'exister
comme un cri
perdu dans le temps
qui vibre et s'entend
de l'autre côté ...
... du trottoir
... de l'univers !
j'adore
c'est magnifique !
Bises à toi Mai@
de quoi peut-on se plaindre encore ?
RépondreSupprimerla vie arrache mais des forces
insoupçonnées s'accrochent et
ouvrent des portes secrètes ! la
lumière est toujours à l'horizon,
avec l'espoir et l'envie de
suivre un chemin même si les virages
sont parfois sévères !!!
le cri du désespoir devient murmure
et chuchotement assourdissants à écouter à tout prix !!
quelle leçon !!!
c'est beau
bisous Maïa
bon dimanche
" Gitana, ven a mi vera.
RépondreSupprimerVamos a vivir la vida
y que la muerte se muera. "
Alvaro Tato
Belle journée Maia
Philippe Chauché